Mais tout de suite je pense que je peux dire qu'en faisant une brillante référence au tableau de Picasso, Guernica, vers la trentième minute du film, dans un superbe moment de bascule émotive, les larmes me sont d'ailleurs montées au yeux tout de suite, Villeneuve avait réussi son film. Dans ce flash forward magistral à ce qui allait éclater, Villeneuve a réussi le pari d'élever cette horrible boucherie au rang de la nécessaire poésie qui probablement seule pourra jamais assourdir la blessure que tant de femmes et d'hommes ont vécu ce jour-là et depuis.
Merci M. Villeneuve
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