jeudi 26 février 2009

Preter le flan à l'insatisfaction

On devrait jamais oublier cette phrase extraordinaire de mon grand copain Pierre Greco...

Ne jamais prêter le flan à l'insatisfaction... quoiqu'il arrive. Comme si le simple fait de parer les petits malheurs et les grandes déceptions pourrait servir de talisman contre tous les rhumes de conscience et les congestions du langage.

Être à Montréal, même en visite, c'est aussi reconnecter avec le vie en français. Juste entendre parler français autour de soi dans le métro par exemple... Une musique.

Un repas avec un grand chum... dans la cacophonie francophone du Petit Extra... La serveuse de 22 ans avec de magnifiques tatouages sur les avant-bras. Parler comme toujours de cinéma et des cons qui nous empêchent de faire celui dont on rêve depuis si longtemps maintenant.

J'ai le livre d'Hélène M. son dernier sur sa soeur Thérèse... qu'elle a perdue il y quelques années. Je sais que c'est un beau livre avant de l'avoir lu.




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